emerich

Oh France, France morne plaine.

Tout parait morne! Mornissime, lugubre Premier ministre égrenant les phrases de son discours budgétaire soit disant salvateur « responsable et courageux » (selon le cliché en vigueur)

Mornes les réactions de la presse, mornes même les réponses des oppositions!!

Mais bon sang de bon sang n’y a-t-il plus aucun ressort dans ce pays qui tellement de fois fut glorieux. Plus aucun enthousiasme? Plus aucune initiative collective pour arrêter le dépérissement de notre production, l’hémorragie de nos emplois, le délitement de nos services publics.

Quand? Quand enfin réaliserons-nous , quand enfin nos dirigeants prendront-ils conscience que ce n’est pas gratter le fond de tiroir qui nous sauvera pour les jours et les années à venir mais que seulement une reprise de la « gagne » pourrait le faire. Se sortir de la tranchée boueuse dans laquelle nous nous enterrons pour passer enfin à l’attaque!!

Regagner nos positions économiques reconstruire notre production nationale, enfin oser en toute légitimité, penser à nous, à la survie et même pourquoi pas, au bonheur de nos concitoyens, de tous nos concitoyens avant de vouloir celui des habitants du monde entier « mondialisé » Eh oui! Charité bien ordonnée commence par soi-même et pour cela commençons à gagner, chez nous et pour nous, l’argent qui nous la permettra cette charité! Et si, oui, si nous devons prononcer ce mot affreux, tabou, honni de « protectionnisme » eh oui, disons le, crions le! Plus vite nous le ferons plus vite nous pourrons de nouveau nous rouvrir au monde, en étant de nouveau forts et en bonne santé! Et surtout, surtout, de nouveau enthousiastes !!

 Réponse à l’affirmation de François Bayrou dans http://www.mouvementdemocrate.fr/evenements/elections-regionales-2010/bayrou-discours-fin-premier-tour-regionales-2010.html

« Une vérité ne cesse pas d’être vraie parce qu’elle est minoritaire »

De toute façon de quelle « vérité » soit disant « minoritaire » s’agît il?

Personne au sein du MODEM ne conteste la vérité ou plutôt la justesse du message démocrate de François Bayrou: c’est ce message qui a attiré les adhérents et suscité leur enthousiasme.

Mais aucune soit disant vérité ne justifie les erreurs de leadership commises pas François Bayrou et son entourage extrêmement restreint, lesquels ont mené le MODEM de défaite en déconfiture lors des élections qui se sont succédées.

François Bayrou, dans ses prestations médiatiques récentes, a qualifié, avec un mépris impardonnable,  de « départ de quelques uns » les démissions en cascade de centaines de dirigeants élus ainsi que le retrait de milliers de simples militants.

C’est à se demander si, paradoxalement,  le président de notre mouvement  ne considère pas comme étant inamicale ou adverse envers sa seule personne,  toute idée ou suggestion concernant l’organisation ou la stratégie du mouvement proposée par des militants ou de leurs élus.

Si  François Bayrou nous disait pour quelle date il prévoit l’éclatante victoire de « sa » vérité tout comme la forme que prendra cette victoire, nous guetterons avec impatience cet évènement.

Mais pour le présent et pour l’éventuel avenir du MODEM comme parti de gouvernement, seule une union des énergies militantes se conformant démocratiquement aux procédures internes  décrites dans la Charte votée lors du Congrès fondateur, peut nous remettre en selle pour les prochaines compétitions électorales.

Avant la suite de  « Modem or not Modem »

Cher M Bayrou !

Je le sais, vous êtes heureux.

Le verdict des urnes est tombé. Vous êtes, enfin, seul et le grand désert est devant vous. A volonté vous  pourrez y cheminer. Pour le traverser, vos pas vous mèneront à droite, vous mèneront à gauche; ce ne sera pas important, personne ne vous critiquera même si autour d’un centre imaginaire vous vous mettiez à marcher en rond !

Après la prestation de François Bayrou à France-inter le 8 mars matin

François Bayrou, inspiré par le général de Gaulle, nous demande de le laisser seul!

A tous ceux qui comme moi en 2007 avons, attirés par son discours, adhéré et milité au MODEM, M Bayrou, après nous avoir mené de défaite en déconfiture, dit avec un superbe mépris, « partez, laissez moi seul, tel un de Gaulle actuel, traverser mon désert »

François Bayrou est-il vraiment persuadé que si le peuple de France en arrive au paroxysme du désarroi et du désespoir c’est à lui qu’il s’adressera, de la même façon que jadis il s’est adressé à de Gaule, l’implorant d’accepter d’être son guide, d’être son président ? François Bayrou rêve-t-il, comme, jadis, pour de Gaulle d’une descente triomphale des Champs Elysées de plus d’un million de personnes ?

J’espère, pour moi comme pour mon pays, ne jamais en arriver la !

A dire vrai  je suis perplexe. Après presque 3 ans de « modemisme »  je ressens

la même certitude sur le fait que considérant l’état dans lequel se trouve la France « il est urgent de changer tout ça».

La même conviction que seule une révolution des mœurs politiques et un changement radical du personnel politique en France peuvent éviter à notre pays des révoltes aux conséquences sociétales et économiques désastreuses.

La même détermination à contribuer à la mobilisation des talents et des forces de notre pays pour l’épanouissement harmonieux  de notre société sous un régime humaniste s’inspirant des valeurs, liberté égalité fraternité et  laïcité, de la démocratie.

 Mais, mais, mais…

En 2007 au moment de mon adhésion au MODEM dans l’enthousiasme du moment de l’ensemble des nouveaux membres de ce mouvement, la réalisation de tout cela nous semblait à portée de nos efforts.

Hélas, depuis, l’horizon s’est assombri et la route vers le but défini  semble beaucoup moins bien tracée

Depuis il y a eu notre défaite aux élections européennes dont les causes et les conséquences n’ont pas, à mon avis, servi de leçon pour la conduite à venir du mouvement. J’en ai parlé dans un de mes articles précédents en fondant mes espoirs sur François Bayrou pour qu’en bon « commandant en chef » il prenne les mesures adéquates et redresse la situation.

Il faut reconnaître que  rien de tel n’est arrivé ! Le Commandant en question à semblé plongé dans une sorte d’apathie sans qu’aucune décision positivement encourageante ne se fasse connaître. .Pire, à l’approche des élections régionales qui représentent la dernière « haie » avant les élections  de 2012, l’attitude de M Bayrou devient carrément incompréhensible.

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Se refermant sur lui et sur un nombre restreint  de « proches », des décisions, foulant aux pieds la Charte et le règlement intérieur que M Bayrou lui-même avait suscités, ont été imposées depuis le « haut » blessant des adhérents et des militants, par leur injustice et surtout par la manière a-démocratique des passages en force. Je parle notamment, mais pas seulement, des constitutions souvent scandaleuses  des listes électorales. Ce comportement injuste et méprisant et outrageant de la part de celui en qui ils avaient crû,  a déclenché la démission en chaine de militants régulièrement élus par les adhérents à des postes de responsabilité où ils se sont montrés actifs, compétents, efficaces et surtout appréciés. Le corps militant du  MODEM s’en est trouvé gravement  distendu ou même par endroits, presque démantelé.

Un psychologue-politologue trouvera peut-être un jour l’explication  de cette attitude carrément suicidaire, comme de  l’exaltation  de celui qui déclare jour après jour quelque chose comme : « tant pis pour ceux qui me quittent c’est la preuve du fait que j’ai raison » !

Mais en attendant et quoi qu’il en soit, pour de nombreux militants dont je fais partie, le MODEM phase I avec François Bayrou comme président a vécu !

A partir de là les paris sont ouverts.

Aurons-nous un MODEM PHASE II ?

Ce sera le sujet de mon prochain article.

Sur la question : de gauche ou de droite ?

Le MODEM a été fondé dans une ambiance  de consensus enthousiaste pour être un parti de gouvernement réellement moderne et réellement utile, en pointe de l’action contribuant à faire de la France un pays (enfin) véritablement démocratique dans toute l’acception de ce terme. Faire de la France un pays de droit et de justice pour tous, d’équité et d’épanouissement social. Un pays laïque fidèle aux idéaux fondateurs de la  République « Liberté Egalité Fraternité »

Le MODEM a été destiné lors de sa fondation à mener l’action concertée pour  faire élire à la tête du pays un Président mu par cet idéal démocrate et capable, grâce à un programme réaliste et réalisable, de transformer le pays selon ce projet pour le bien de l’ensemble des citoyens.

Le MODEM a été destiné à stopper la décomposition de la vie politique en France et le glissement  vers un mode de gouvernement accapareur de toute liberté démocratique d’expression et d’action.

Nous savons que le MODEM,  parti tout à fait neuf avec à peine deux années d’existence doit être reconnu par les citoyens électeurs et reconnu à sa place sur l’échiquier politique français

Il se trouve que les citoyens français, en raison d’une habitude presque innée tiennent à porter leur choix électifs soit sur une « droite » ou sur une « gauche ». Devant cette obligation de « labellisation » condition sine quoi non  pour la réussite en toute élection en France, n’hésitons plus : déterminons-nous pour une image sans ambiguïté de gauche. Une « gauche » énergique, éduquée, plongée dans la vie de notre 21^ème siècle, consciente de ses enjeux économiques et sociaux, idéaliste avec pragmatisme. Un esprit de « gauche » compétent créatif  et pédagogue qui propose uniquement ce qu’un gouvernement fidèle à ses idées peut s’engager à réaliser.

En tout cas écartons courageusement et une fois pour toute l’appellation « centre » ou « centriste » qui ne nous place nulle part et qui n’évoque ni idéologie ni programme alors que nous devons tout faire pour nous faire admettre et reconnaître avec un programme et une ligne claire de gouvernement à l’appui d’un projet d’alternance constructive en faveur de future organisation réellement démocratique, juste et équitable de la société française.

Au milieu du brouhaha : commissions, comités, présidences, groupes, sites internet, blogs, contributions innombrables, controverses, « opinions » longues de kilomètres, lettres ouvertes etc. etc. on se fait valoir, on recommande, on critique, on accuse, on acquiesce, on refuse.

 
Et tout ça au nom soit disant de la Démocratie !!!

Et tout ça au moment où nous, le peuple français, sommes  assommés  par les mauvaises nouvelles qui nous tombent  jour après jour : 2 à 300 licenciements quotidiens, des pans d’économies qui tombent par effet apparemment irréversible de domino.  La jeunesse, notre jeunesse, notre avenir, qui semble vaguer impuissante alors que la révolte bouillonne en elle sans que personne soit là pour lui servir de guide ou bien, le plus important, pour lui insuffler un idéal !

Et tout ça pendant que le gouvernement le plus prédateur des droits et des libertés démocratiques enserre de son emprise le pays, annihilant la force des règles constitutionnelles les plus élémentaires au profit de la seule satisfaction égoïstement dominatrice du Président actuellement en place et qui veut coûte que coûte s’y maintenir !

Si cette situation nous révolte, nous fait mal, et si en notre conviction profonde nous sentons que l’accaparement de nos libertés doit s’arrêter alors…

Arrêtons les palabres

Soyons brefs en paroles, soyons  déterminés et efficaces en actes.

Une lueur, puis une flamme naissante nous a réunis dans une volonté commune de faire en sorte que notre France devienne enfin, ce qu’elle n’a jamais été, une authentique démocratie faisant honneur à son nom et digne de ses idéaux fondateurs « liberté, égalité, fraternité ».

François Bayrou, au moment des dernières élections présidentielles a été le porteur de cette lueur qui a attiré l’approbation d’environ 20% des votants français.

Un petit nombre (mais tout de même suffisamment important) parmi ces 20%, les plus enthousiastes, a répondu à l’appel de François Bayrou à former un mouvement, une entité agissante en faveur d’une politique et d’un gouvernement reflétant et appliquant fidèlement au profit de l’ensemble de notre peuple les principes strictes de la démocratie.

Nous concevions que ce serait un combat à mener et qu’il serait difficile à gagner mais nous étions  (et peut être le sommes nous encore) persuadés de pouvoir réussir.

Le nom Mouvement Démocrate et son sigle MODEM se sont imposés comme allant de soi.

Le MODEM, immédiatement engagé dans son combat politique, a depuis sa formation vécu « l’expérience  du feu » à deux reprises : élections municipales et élections européennes. Deux engagements où les militants fortement impliqués, sans pouvoir emporter une victoire, n’ont pourtant  pas démérité.

Deux échecs, qui nous ont je pense beaucoup appris.

Nous avons, les deux dernières fois, mené des actions de franc-tireur. La prochaine fois, qui sera décisive, il faut que nous soyons une armée et de cela nous devons nous en convaincre, tous, depuis le « militant de base » jusqu’à celui qui nous a rassemblés au commencement et qui doit s’assumer dans le rôle de chef opérationnel en plus de celui d’inspirateur idéologique.

A partir de maintenant il nous faut donc :

·        Un chef (visiblement présent sans être exposé)

·        Une direction (constituée de membres connus, actifs, avec attributions définies)

·        Un Etat major de campagne aussi actif qu’« effacé » face aux media

·        Une stratégie élaborée par « l’état major »  à qui le chef comme les « directeurs » font confiance et dont le chef finalement approuve le contenu (sans annonces par voie médiatique)

·        Un groupe chargé de la « propagande » mot que je trouve plus honnête que « com’ »

Cette organisation, qui en principe est prévue dans la sagesse des actes fondateurs, devra être mise en place et annoncée aux militants. Ces derniers ont impérativement besoin de connaître l’existence de ce « cœur » du mouvement  et d’en sentir le battement réel.

Il est important que François Bayrou, en premier, se déclare conscient de l’état d’expectative où se trouvent les militants, toujours mobilisés dans leur                                                                                                       volonté d’agir pour le bien de la France selon les principes de la démocratie énoncée lors de la fondation du MODEM.

Il est important que François Bayrou déclare publiquement être conscient de sa responsabilité personnelle envers les femmes et les hommes dont l’énergie militante, dévouée et totalement désintéressée, a été mise en route en réponse à son appel.

Cette «déclaration de  responsabilité » est attendue moins comme une « excuse » pour le dernier déboire électoral mais comme un engagement pour le futur.

Le retour de confiance et le futur épanouissement du Mouvement qu’il a initié en dépendent.

En un moment critique comme celui que nous vivons dans notre pays Il est important d’entendre François Bayrou assumer son devoir envers ceux qui lui font confiance avec l’engagement de la mise en place de l’organisation et des femmes et hommes capables de gérer, avec lui, les prochains combats qui nous attendent.

Seulement de cette manière le brouhaha et les palabres actuels s’arrêteront pour faire place à l’action !

«La décision d’un seul peut être mauvaise, la décision consensuelle d’un grand groupe souvent inefficace; la meilleure décision est celle d’un seul très bien informé »

Emerich MEERSON

28 juin 2009

Dans « La boutique à Sarko » vous trouverez toujours le dernier modèle en vogue. En ce moment grande promotion sur les produits verts de Dany.

Mise en garde par les « consommateurs avertis » : ne vous attendez pas, ne comptez sur aucune garantie ni sur aucun service après vente.

Acheteurs « piégés » mécontents et déçus tenez vos dossiers de réclamation à jour pour le prochain recours possible…en 2012 !!!

P.S.
Le cabinet MODEM et son équipe compétente au service des citoyens vous y aidera. Adressez vous à lui le plus tôt possible. Contribution forfaitaire et frais de constitution de dossier très abordables

Même avec ses poches vides et ses idées creuses mais avec son 28,5 affiché, Sarko bat tambour et crie ses annonces racoleuses en place publique.
Dany, entre Eva et José, que va-t-il faire de son petit triomphe d’un moment?
Martine dans le désarroi va jusqu’à embrasser Ségolène et ensemble elles cherchent la miraculeuse idée salvatrice pour cette « gauche » fameuse et invisible comme l’Arlésienne.
C’est peut être le moment ou jamais pour le Modem de se relever au centre du ring avant que le « 10 » ne soit compté et prouver que le combat n’en est qu’à son premier round et tourner les huées de la foule en bravos admiratifs. Ne parlions nous pas d’arène politique avec pour seule règle du jeu : « Pas de faiblesse » !!!

10 juin 2009

8 juin 2009

Assommé par le résultat de l’élection d’hier et après une nuit de quasi insomnie.

Modem or not modem ?

(Ou à quoi nous engageons nous dans le Mouvement Démocrate)

J’ai déjà parlé de la motivation qui m’a fait adhérer au Mouvement Démocrate. Je rappelle que ce fut le désir d’en finir avec une gouvernance de la France basée sur la satisfaction avant tout des intérêts des dirigeants lesquels, une fois élus, se sentent comme investis du droit d’usage de chèques en blanc à leur propre bénéfice et au bénéfice de leur entourage partisan.

En un mot je ne supporte plus, en tant que citoyen de la France, le simulacre de démocratie en vigueur qui nous rapproche bien plus du statut de « république bananière » que de celui d’un pays modèle appliquant dans la réalité, les principes du droits de l’homme et du citoyen.   

Ma réflexion se porte sur ce but de mon engagement.  Je considère bien sûr l’idéal d’un « absolu démocratique » comme le but ultime. Mais je suis surtout absorbé par le besoin de jeter les bases  d’une action d’urgence.  Car pour notre pays, pour l’Europe, et aussi pour le reste du monde  il y a urgence.

Et c’est cette urgence qui me hante, littéralement.

Je suis fortement ébranlé par le désastre des élections européennes d’hier où 60% de nos concitoyens ont considéré plus important et plus urgent de  faire autre chose  et penser à autre chose  que de consacrer 15mn à exprimer une opinion sur leur vision d’avenir. Et encore plus atterré par les 81% (oui, 81% !) des 18 à 35 ans  qui ont laissé passer cette occasion de prendre en main leur propre avenir !

J’observe avec froide lucidité l’incapacité des gouvernants en charge et leur refus à renoncer à leurs intérêts, à leurs privilèges et aux prébendes qui les accompagnent afin d’agir efficacement contre  l’enfoncement de notre pays  dans les sables mouvants du désordre économique et du délitement social

Et clairement deux choix s’offrent à moi :

L’attitude d’indifférence et, de par-ci par-là, des protestations molles style café du commerce.

L’attitude d’engagement total pour la réalisation de l’avenir de mes rêves.

Il n’y a pas, à l’instant que nous vivons, d’autre choix !

Je ne peux pas, nous les citoyens lucides ne pouvons pas laisser se perdre irrémédiablement le fruit du travail de 65 ans de tout un peuple, depuis la dernière guerre mondiale (pour ne citer que cette toute petite partie de notre histoire), et accepter l’évanouissement de toute perspective de bien-être pour nos descendants, directs et au-delà.

Je ne peux pas, nous ne pouvons rester uniquement observateurs.

Devant la menace vitale pour notre société et ses valeurs fondamentales, une action déterminée, forte, courageuse s’impose !!

De quelle menace parlons-nous ?

De la fameuse « mondialisation » bien sur et de ce qu’elle signifie, prise comme prétexte, pour  laisser

·        Sombrer notre économie,

·        Démanteler nos moyens de production,

·        Défaire notre organisation sociale,

·        Affaiblir et décrédibiliser notre appareil de justice,

·        Désorganiser et rendre inégalitaire notre système éducatif,

·        Abolir l’égalité, chèrement acquise, des soins de santé pour tous,

·        Ignorer une après l’autre les garanties constitutionnelles de notre démocratie.

Je parle, nous parlons de

·        L’urgence vitale de mettre en état de fonctionner un vrai parti de gouvernement, porteur affirmé de nos valeurs.

·        L’urgence de proposer en termes forts et précis un programme réaliste et réalisable de « sauvetage » du pays et de ses citoyens.

·        L’urgence, dans le monde médiatique et de communication dans lequel nous vivons, de décider et d’approuver collégialement des éléments forts constituant « l’image de marque » de notre mouvements et pour cela de nous débarrasser de toutes les ambigüités qui jusqu’à présent brouillent la clarté de cette « image »

·        L’urgence de constituer une équipe de porte-parole, candidats potentiels aux postes électifs, capables de défendre avec grande force de persuasion le plan gouvernemental que nous proposerons à nos futurs électeurs

·        L’urgence enfin, mais pas en dernier, pour M François Bayrou fondateur de notre mouvement et de par sa clairvoyance inspirateur de l’enthousiasme pleinement dévoué et désintéressé des militants, d’admettre qu’un chef sur lequel reposent tant d’espoirs a le devoir de s’entourer de lieutenant(e)s soigneusement choisis.

Le choix de ces lieutenants devra être fait non seulement en fonction de leur pleine adhésion aux objectifs et à la philosophie du chef, mais aussi et surtout en fonction de leurs connaissances dans de domaines multiples, de leur talents divers et, suprême qualité, de leur aptitude et de leur courage à porter la controverse positivement et constructivement sur certaines idées et certains projets du Président avant que ce dernier n’arrête et confirme  sa position définitive et autorise qu’elle soit portée ainsi à la connaissance du public.

François Bayrou, auteur réfléchi de livres d’histoire est, j’en suis persuadé, tout à fait préparé à tirer de façon positive les leçons de la dernière bataille perdue. J’espère très modestement que ma contribution, jointe j’en suis certain à de nombreuses autres, et ajoutée à nos efforts militants totalement dévoués, pourra nous mener à la victoire décisive pour notre peuple en 2012 !

Modem or not Modem ? Yes, let the Modem be!