Sur la question : de gauche ou de droite ?
Le MODEM a été fondé dans une ambiance de consensus enthousiaste pour être un parti de gouvernement réellement moderne et réellement utile, en pointe de l’action contribuant à faire de la France un pays (enfin) véritablement démocratique dans toute l’acception de ce terme. Faire de la France un pays de droit et de justice pour tous, d’équité et d’épanouissement social. Un pays laïque fidèle aux idéaux fondateurs de la République « Liberté Egalité Fraternité »
Le MODEM a été destiné lors de sa fondation à mener l’action concertée pour faire élire à la tête du pays un Président mu par cet idéal démocrate et capable, grâce à un programme réaliste et réalisable, de transformer le pays selon ce projet pour le bien de l’ensemble des citoyens.
Le MODEM a été destiné à stopper la décomposition de la vie politique en France et le glissement vers un mode de gouvernement accapareur de toute liberté démocratique d’expression et d’action.
Nous savons que le MODEM, parti tout à fait neuf avec à peine deux années d’existence doit être reconnu par les citoyens électeurs et reconnu à sa place sur l’échiquier politique français
Il se trouve que les citoyens français, en raison d’une habitude presque innée tiennent à porter leur choix électifs soit sur une « droite » ou sur une « gauche ». Devant cette obligation de « labellisation » condition sine quoi non pour la réussite en toute élection en France, n’hésitons plus : déterminons-nous pour une image sans ambiguïté de gauche. Une « gauche » énergique, éduquée, plongée dans la vie de notre 21ème siècle, consciente de ses enjeux économiques et sociaux, idéaliste avec pragmatisme. Un esprit de « gauche » compétent créatif et pédagogue qui propose uniquement ce qu’un gouvernement fidèle à ses idées peut s’engager à réaliser.
En tout cas écartons courageusement et une fois pour toute l’appellation « centre » ou « centriste » qui ne nous place nulle part et qui n’évoque ni idéologie ni programme alors que nous devons tout faire pour nous faire admettre et reconnaître avec un programme et une ligne claire de gouvernement à l’appui d’un projet d’alternance constructive en faveur de future organisation réellement démocratique, juste et équitable de la société française.